samedi 31 mars 2018

onEarth Stories

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mercredi 28 mars 2018

Problèmes de livraison : que faire en cas de colis perdu, marchandise abîmée ou non conforme ?

Problèmes de livraison : que faire en cas de colis perdu, marchandise abîmée ou non conforme ?

mardi 13 mars 2018

Cette appli chinoise de vélo en libre-service lève 866M$ auprès d'Alibaba pour réussir là où son concurrent Gobee.bike a échoué

Cette appli chinoise de vélo en libre-service lève 866M$ auprès d'Alibaba pour réussir là où son concurrent Gobee.bike a échoué



l'Open globalization ou la sociologie du Net ou du progrès dans d'autres

domaines. A une distinction près : la recherche de l'économie d'échelles

proposée tous azimuts désoriente les VC (6 jeunes pousses françaises

proposaient le même type de service de plats à domicile au CES à Las

Vega) et n'entave en rien le gaspillage financier car les 90 % des start-ups

disparaissent avant 5 ans donc avant leurs 500000 eur de CA pour

intéresser les Venture Capital. Et l'Open globalization moderne ne se

cantonne plus à quelques innovations du siècle comme le pénicilline...mais

dans la déclinaison de gammes de concepts et de services avec un gaspillage

de compétences, de trésorerie contrairement au fondement de l'économie

d'échelles, la base de toute idéologie économique et politique.

jeudi 1 mars 2018

Allégez vos tracas avec le GABA

Allégez vos tracas avec le GABA

Prévenir et traiter les engelures

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Alternative Santé. L'expérience de la médecine naturelle.


ÉDITO

Bonjour à tous,

Qui a bien pu inventer le système du numerus clausus (nombre clos) pour limiter l’accès aux études de santé en France ? Et dans quel but ? Ce système était sans doute utile à une époque de sureffectif, mais il a eu pour effet de diminuer de manière alarmante le nombre d’étudiants admis en deuxième année de médecine : de 8 588 en 1971-1972, il a chuté à 3 500 en 1992-1993. Avec pour conséquence aujourd’hui une pénurie de spécialistes qualifiés, notamment en chirurgie, ophtalmologie, ORL, etc.

S’agissait-il de limiter les dépenses de la Sécurité sociale ? D’assurer un meilleur revenu à un petit nombre d’élus ? De permettre aux professeurs de mieux assurer leur enseignement ? D’éviter le favoritisme ?

Un échec total

Ce système est un échec total. Aujourd’hui, du fait du manque de médecins et d’infirmières, les hôpitaux doivent faire appel à des diplômés venus d’autres pays de l’Union européenne, qui n’ont pas forcément la même formation, tandis qu’en France nous avons limité peu à peu la transmission de l’excellence de l’enseignement. Cela ne concerne pas que les études médicales, car la limitation a aussi été imposée pour le nombre d’infirmières et de personnels soignants. On voit combien les urgences sont encombrées. Malgré des locaux souvent parfaitement adaptés aux soins, on manque d’équipes chirurgicales pour faire face aux urgences, même les plus vitales. Sans parler de la pénurie de médecins dans les campagnes.

Cette limitation de l’accès aux études n’a pas été adaptée aux besoins, et son cadre de sélection n’a pas su prendre en compte les qualités humaines que l’on peut attendre d’un médecin ou d’un soignant : à savoir son humanisme, sa vocation, sa compassion, son abnégation. Et alors qu’autrefois on sélectionnait sur des critères philosophiques, on préfère aujourd’hui des têtes bien pleines. Des personnes capables d’ingurgiter toutes les affirmations de l’industrie pharmaceutique. Car c’est bien là le problème : c’est cette industrie qui encadre les études.

Un système à réformer

Il est temps que cela change. Que soient mieux valorisées les rémunérations de tous ceux qui vont se consacrer au service d’autrui dans les hôpitaux publics, et que le nombre de personnels soignants soit augmenté rapidement. Mais, me direz-vous, avec quel budget ? N’y a-t-il pas des remboursements abusifs ? Ne peut-on pas diminuer encore, par exemple, le nombre de médicaments remboursés ?N’y a-t-il pas des équivalents naturels pour remplacer les antidépresseurs, les somnifères, les paracétamols et compagnie ?Il vaudrait mieux économiser à ce niveau et utiliser cette manne pour mieux rémunérer les personnels des hôpitaux et augmenter le nombre des praticiens de santé.

On me dira aussi que nous n’avons pas assez de professeurs. Mais qu’à cela ne tienne : pourquoi ne pas faire appel aux médecins qui ont une expérience pratique de la phytothérapie, de l’homéopathie et des autres médecines naturelles pour qu’on cesse enfin de mettre des œillères aux étudiants ? En effet, c’est bien cette logique du tout-médicament qui creuse le trou de la Sécurité sociale !
Prenez-soin de vous,

Dr Paul Dupont
Alternative Santé

Les propriétés santé de la bromélaïne

Les propriétés santé de la bromélaïne



Bonjour à tous, 

À la demande d’une amie qui a du mal à concevoir un enfant, j’ai fait il y a quelques jours un tour de la littérature scientifique sur le sujet. Saviez-vous qu’aujourd’huiprès d’un quart des couples n’arrivent pas à concevoir après un an d’arrêt de la contraception et que 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans ?

L’infertilité féminine et masculine croissante est bien sûr un phénomène inquiétant. Depuis quelque temps déjà, des études ont mis en évidence l’impact délétère des pesticides sur la fertilité masculine, par exemple. Mais d’autres choses du quotidien sont moins connues. Saviez-vous également que la prise excessive d’aspirine ou de paracétamol peut agir comme un perturbateur endocrinien et réduire la production de testostérone chez les hommes ? Que pour les femmes, la prise de paracétamol durant la grossesse peut impacter le système reproducteur des jeunes filles à naître et leur future fertilité ? Une raison de plus de l’éviter quand on sait que le prendre pendant la grossesse augmente aussi les risques d’autisme et de trouble du développement chez l’enfant.

Une très récente étude publiée dans la revue Epidemiology, montre que la simple consommation quotidienne de soda sucré peut considérablement diminuer les chances d’un couple de fonder une famille. Une femme qui boit un soda avec sucre ajouté par jour perd 25 % de sa « fécondabilité » (ses chances de concevoir sur un mois) et pour un homme c’est 33 %. Les chercheurs de l’école de médecine de l’université de Boston en charge de l’étude ajoutent que s’ils ne peuvent pas encore l’affirmer de manière certaine, il semble que la consommation de boissons énergisantes soit encore pire… Alors que les études se multiplient sur l’impact toxique de notre environnement sur la fertilité, ce n’est bientôt plus la naissance qui tiendra du miracle mais la conception !

Et puisqu'on parle de boissons, on vous propose cette semaine un article inédit sur la dépendance à l’alcool. On a beaucoup débattu dans les médias ces dernières semaines des vertus réelles ou imaginaires du vin rouge : est-il oui ou non aussi néfaste que les autres alcools, ou est-il au contraire bon pour la santé ? À la faveur de nouvelles études sur l'impact de l'alcool sur notre cerveau (démence, Alzheimer), on vous propose de faire le point sur ces questions.  Mais surtout, comme on a tous autour de nous quelqu'un qui a « un petit problème avec l'alcool », on vous donnedes pistes pour sortir d’une des dépendances les pernicieuses et destructrices qui soient. 

Prenez soin de vous

Arnaud Lerch
Alternative Santé